𝙎𝙤𝙪𝙨 𝙡𝙖 𝙙𝙞𝙧𝙚𝙘𝙩𝙞𝙤𝙣 𝙙𝙚 𝙡'𝘼𝙨𝙨𝙞𝙨𝙩𝙖𝙣𝙩 𝙙𝙪 𝙈𝙞𝙣𝙞𝙨𝙩𝙧𝙚 𝙚𝙣 𝙘𝙝𝙖𝙧𝙜𝙚 𝙙𝙪 𝙘𝙤𝙢𝙢𝙚𝙧𝙘𝙚, 𝙏𝙧𝙖𝙣𝙨𝙥𝙤𝙧𝙩, 𝙄𝙣𝙙𝙪𝙨𝙩𝙧𝙞𝙚 𝙚𝙩 𝙏𝙤𝙪𝙧𝙞𝙨𝙢𝙚, 𝙡𝙚𝙨 𝘿𝙤𝙢𝙞𝙣𝙞𝙘𝙖𝙞𝙣𝙨 𝙙𝙪 𝘽𝙪𝙧𝙪𝙣𝙙𝙞 𝙤𝙣𝙩 𝙡𝙖𝙣𝙘𝙚́ 𝙤𝙛𝙛𝙞𝙘𝙞𝙚𝙡𝙡𝙚𝙢𝙚𝙣𝙩, 𝙡𝙚 13 𝙟𝙪𝙞𝙣 2025, 𝙡'𝙄𝙣𝙨𝙩𝙞𝙩𝙪𝙩 𝙙𝙚 𝘿𝙚́𝙫𝙚𝙡𝙤𝙥𝙥𝙚𝙢𝙚𝙣𝙩 𝙚𝙩 𝙙'𝙀́𝙩𝙝𝙞𝙦𝙪𝙚 𝙀́𝙘𝙤𝙣𝙤𝙢𝙞𝙦𝙪𝙚 (𝙄𝘿𝙀𝙀).

𝙐𝙣𝙚 𝙢𝙞𝙨𝙨𝙞𝙤𝙣 𝙖𝙭𝙚́𝙚 𝙨𝙪𝙧 𝙡’𝙚́𝙩𝙝𝙞𝙦𝙪𝙚 𝙚𝙩 𝙡𝙚 𝙙𝙚́𝙫𝙚𝙡𝙤𝙥𝙥𝙚𝙢𝙚𝙣𝙩

L'Abbé Symphorien Ntibagirirwa, représentant légal de ce projet, a indiqué que l'IDEE est une structure de consultance, de formation et de recherche en éthique du développement et de l'économie. L'objectif est d'insuffler un esprit éthique au développement économique, afin que celui-ci serve tout homme et tout l'homme dans la société.

𝙐𝙣𝙚 𝙫𝙞𝙨𝙞𝙤𝙣 𝙙𝙤𝙢𝙞𝙣𝙞𝙘𝙖𝙞𝙣𝙚 𝙙𝙚 𝙟𝙪𝙨𝙩𝙞𝙘𝙚 𝙚𝙩 𝙙𝙚 𝙨𝙤𝙡𝙞𝙙𝙖𝙧𝙞𝙩𝙚́

Père Symphorien Ntibagirirwa a précisé que l’IDEE s’inscrit dans la vision des Dominicains du Vicariat du Rwanda et du Burundi, qui œuvrent pour une Eglise : solidaire avec les pauvres, promotrice de la foi et des valeurs morales, éducatrice de la responsabilité, bâtisseuse d’une société réconciliée, juste et équitable.

𝙐𝙣𝙚 𝙙𝙤𝙪𝙗𝙡𝙚 𝙢𝙞𝙨𝙨𝙞𝙤𝙣 𝙥𝙤𝙪𝙧 𝙪𝙣 𝙘𝙝𝙖𝙣𝙜𝙚𝙢𝙚𝙣𝙩 𝙙𝙪𝙧𝙖𝙗𝙡𝙚

L’abbé Ntibagirirwa a également précisé la double mission de l’Institut :
1. Offrir un guide éthique aux acteurs économiques et du développement.
2. Approfondir, par la recherche, le lien entre l’éthique et le développement économique.

𝙐𝙣 𝙨𝙤𝙪𝙩𝙞𝙚𝙣 𝙛𝙤𝙧𝙩 𝙙𝙪 𝙂𝙤𝙪𝙫𝙚𝙧𝙣𝙚𝙢𝙚𝙣𝙩 𝙗𝙪𝙧𝙪𝙣𝙙𝙖𝙞𝙨

Dans son allocution, Gérard Niyokindi, Assistant du Ministre en charge du commerce, a salué l’initiative, la qualifiant de projet ambitieux et salutaire, qui répond à un besoin fondamental de la société.
Il a souligné que la création d’une organisation œuvrant pour une culture de l’éthique et de l’intégrité dans le monde des affaires, est fortement appuyée par le Gouvernement du Burundi et par les acteurs du secteur privé.

𝙇’𝙄𝘿𝙀𝙀, 𝙪𝙣 𝙖𝙘𝙩𝙚𝙪𝙧 𝙘𝙡𝙚́ 𝙥𝙤𝙪𝙧 𝙡’𝙖𝙫𝙚𝙣𝙞𝙧 𝙚́𝙘𝙤𝙣𝙤𝙢𝙞𝙦𝙪𝙚 𝙙𝙪 𝙥𝙖𝙮𝙨

Convaincu que l’IDEE deviendra un acteur incontournable dans l’économie burundaise, M. Niyokindi a encouragé l’Institut à: sensibiliser les entreprises à la bonne gouvernance et à la responsabilité sociétale ; élaborer des référentiels de conduite adaptés au contexte burundais ; créer un espace de dialogue entre les secteurs public, privé et la société civile ; et accompagner les entreprises dans l’adoption de pratiques.