𝗦𝗼𝗰𝗹𝗲 𝗱𝘂 𝘀𝗮𝘃𝗼𝗶𝗿: 𝘂𝗻𝗲 𝗲́𝗰𝗼𝗹𝗲 𝗱'𝗲𝘅𝗰𝗲𝗹𝗹𝗲𝗻𝗰𝗲 𝗼𝘂𝘃𝗿𝗲 𝘀𝗼𝗻 𝗶𝗻𝘁𝗲𝗿𝗻𝗮𝘁 𝗮̀ 𝗠𝗮𝘁𝗼𝗻𝗴𝗼

Education

: publié Lundi, le 18/08/2025 par NYANDWI Dieudonné

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𝘿𝙚̀𝙨 𝙡'𝙖𝙣𝙣𝙚́𝙚 𝙨𝙘𝙤𝙡𝙖𝙞𝙧𝙚 2025-2026 𝙡’𝙚́𝙘𝙤𝙡𝙚 𝙎𝙤𝙘𝙡𝙚 𝙙𝙪 𝙎𝙖𝙫𝙤𝙞𝙧, 𝙞𝙢𝙥𝙡𝙖𝙣𝙩𝙚́𝙚 𝙨𝙪𝙧 𝙡𝙖 𝙘𝙤𝙡𝙡𝙞𝙣𝙚 𝙈𝙖𝙩𝙤𝙣𝙜𝙤 𝙚𝙣 𝙘𝙤𝙢𝙢𝙪𝙣𝙚 𝙉𝙮𝙖𝙗𝙞𝙝𝙖𝙣𝙜𝙖 (𝙥𝙧𝙤𝙫𝙞𝙣𝙘𝙚 𝙂𝙞𝙩𝙚𝙜𝙖), 𝙖𝙘𝙘𝙪𝙚𝙞𝙡𝙡𝙚𝙧𝙖 𝙨𝙚𝙨 𝙥𝙧𝙚𝙢𝙞𝙚𝙧𝙨 𝙚́𝙡𝙚̀𝙫𝙚𝙨 𝙖̀ 𝙡’𝙞𝙣𝙩𝙚𝙧𝙣𝙖𝙩. 𝙋𝙡𝙪𝙨 𝙙𝙚 400 𝙟𝙚𝙪𝙣𝙚𝙨 𝙥𝙤𝙪𝙧𝙧𝙤𝙣𝙩 𝙗𝙚́𝙣𝙚́𝙛𝙞𝙘𝙞𝙚𝙧 𝙙’𝙪𝙣 𝙘𝙖𝙙𝙧𝙚 𝙢𝙤𝙙𝙚𝙧𝙣𝙚, 𝙙’𝙪𝙣𝙚 𝙛𝙤𝙧𝙢𝙖𝙩𝙞𝙤𝙣 𝙙𝙚 𝙦𝙪𝙖𝙡𝙞𝙩𝙚́ 𝙚𝙩 𝙙’𝙪𝙣 𝙖𝙘𝙘𝙤𝙢𝙥𝙖𝙜𝙣𝙚𝙢𝙚𝙣𝙩 𝙖𝙙𝙖𝙥𝙩𝙚́, 𝙨𝙚𝙡𝙤𝙣 𝙡𝙖 𝙋𝙧𝙚𝙢𝙞𝙚̀𝙧𝙚 𝘿𝙖𝙢𝙚 𝙙𝙪 𝘽𝙪𝙧𝙪𝙣𝙙𝙞, 𝘼𝙣𝙜𝙚𝙡𝙞𝙣𝙚 𝙉𝙙𝙖𝙮𝙞𝙨𝙝𝙞𝙢𝙞𝙮𝙚, 𝙞𝙣𝙞𝙩𝙞𝙖𝙩𝙧𝙞𝙘𝙚 𝙙𝙪 𝙥𝙧𝙤𝙟𝙚𝙩 𝙖̀ 𝙩𝙧𝙖𝙫𝙚𝙧𝙨 𝙡𝙖 𝙁𝙤𝙣𝙙𝙖𝙩𝙞𝙤𝙣 𝘽𝙤𝙣𝙣𝙚 𝘼𝙘𝙩𝙞𝙤𝙣 𝙐𝙢𝙪𝙜𝙞𝙧𝙖𝙣𝙚𝙯𝙖.

𝘿𝙚𝙨 𝙞𝙣𝙛𝙧𝙖𝙨𝙩𝙧𝙪𝙘𝙩𝙪𝙧𝙚𝙨 𝙢𝙤𝙙𝙚𝙧𝙣𝙚𝙨 𝙥𝙤𝙪𝙧 𝙪𝙣 𝙚𝙣𝙨𝙚𝙞𝙜𝙣𝙚𝙢𝙚𝙣𝙩 𝙙𝙚 𝙦𝙪𝙖𝙡𝙞𝙩𝙚́

Avec des bâtiments neufs et des salles de classe ne dépassant pas 30 élèves, l’école Socle du Savoir se veut un modèle éducatif.
« Nous voulons offrir aux élèves les meilleures conditions d’apprentissage », a déclaré le directeur de l’établissement, Ndenzako Subhana.
Dès son lancement, l’école proposera plusieurs filières : maths-statistique, biochimie et sciences de la terre, ainsi qu’économie. Ces choix, explique le directeur, traduisent « la volonté d’aligner la formation sur la vision de développement du Burundi 2040-2060 ».

𝙐𝙣 𝙞𝙣𝙩𝙚𝙧𝙣𝙖𝙩 𝙗𝙞𝙚𝙣 𝙚́𝙦𝙪𝙞𝙥𝙚́ 𝙚𝙩 𝙖𝙘𝙘𝙚𝙨𝙨𝙞𝙗𝙡𝙚

Les dortoirs sont déjà prêts : chaque chambre comptera quatre lits avec matelas neufs, ainsi qu’un lit supplémentaire prévu pour répondre aux besoins. Les cuisines et le réfectoire ont également été aménagés.
Angeline Ndayishimiye rassure : « Les élèves auront une bonne éducation, seront bien nourris et logés dans des conditions dignes. »
Elle a aussi insisté sur l’inclusion : les enfants issus de familles vulnérables pourront être accueillis, grâce au soutien de la Fondation qui prendra en charge les plus démunis.

𝙐𝙣𝙚 𝙤𝙪𝙫𝙚𝙧𝙩𝙪𝙧𝙚 𝙫𝙚𝙧𝙨 𝙡𝙖 𝙛𝙤𝙧𝙢𝙖𝙩𝙞𝙤𝙣 𝙥𝙧𝙤𝙛𝙚𝙨𝙨𝙞𝙤𝙣𝙣𝙚𝙡𝙡𝙚

Dès la deuxième année scolaire, l’établissement intégrera la formation professionnelle, un choix salué par les élèves eux-mêmes.
Dushime Nerée Achille, élève modèle, témoigne : « C’est une chance unique de recevoir une formation complète, à la fois générale et pratique, qui nous prépare à l’avenir. »

𝙐𝙣𝙚 𝙫𝙞𝙨𝙞𝙤𝙣 𝙢𝙖𝙡𝙜𝙧𝙚́ 𝙡𝙚𝙨 𝙘𝙧𝙞𝙩𝙞𝙦𝙪𝙚𝙨

Face aux critiques apparues sur les réseaux sociaux, la Première Dame se montre ferme :
« Je ne me découragerai pas à cause des mauvaises langues. J’œuvre pour le bien du pays à travers une éducation de qualité, qui est la pierre angulaire du développement du Burundi. »

En misant sur l’éducation et l’avenir de la jeunesse, l’école Socle du Savoir veut allumer une flamme : celle d’un Burundi qui grandit grâce au savoir et à l’excellence.