Le Président de la République Evariste Ndayishimiye a effectué une visite mardi 6 juillet 2021 dans la province de Mwaro. Il a rencontré, dans la commune Kayokwe, les responsables administratifs, de défense et de la sécurité, les leaders politiques, les représentants des confessions religieuses et les natifs dans une séance de moralisation en rapport avec la bonne gouvernance et le patriotisme.

A la sortie de la moralisation, le Porte-parole du Président de la République Evelyne Butoyi a annoncé qu'au cours de cette séance de moralisation, le Président de la République Evariste Ndayishimiye a exhorté la population de Mwaro à changer de mentalité pour qu'ils puissent éradiquer le fléau des divisions ethniques. Il a appelé tous les burundais à prendre conscience qu'ils constituent un seul peuple et une même nation. Il a appelé également toute la population burundaise à bien gérer la chose publique et à bien partager en bon père de la famille la richesse du pays.

Le Porte-parole du Président de la République a fait savoir que le Chef du pays a interpellé tout le peuple burundais à se réconcilier pour avancer ensemble dans le développement durable et intégrer. Il a demandé à tout un chacun à une lecture commune du passé afin qu'il puisse ainsi contribuer au développement et là, il leur a appelé de travailler dans des associations et coopératives pour le développement du secteur agricole et développement.

Le Porte-parole du Président de la République a indiqué que le Chef de l'Etat a demandé aux leaders de servir de modèle pour remorquer toute la population vers la lutte contre la pauvreté. Il a demandé aussi à tout le monde d'aller dans leurs circonscriptions natales pour qu'ils puissent servir de modèle à la population locale.

Pour terminer, le Président de la République a prodigué des conseils aux participants de cette séance de moralisation tenue à Mwaro où il demande à tout le monde pour qu'ils puissent investir afin que la sécurité puisse être une réalité dans cette localité car la sécurité concerne tout le monde, selon Evelyne Butoyi.