Après la récente publication des rapports par différentes organisations internationales sur la situation des droits humains au Burundi, l'ONG locale PARCEM demande à tous les intervenants dans ce domaine de tout faire pour améliorer quelques cas de violations des droits humains qui se manifestent encore ici au Burundi.

Le président de PARCEM Faustin NDIKUMANA l'a anonncé au cours d'un point de presse qu'il a accordé aux médias le 18 juillet 2017.

Sur la question de savoir la position par rapport à ces rapports que le gouvernement qualifie de biaisés, Faustin NDIKUMANA a indiqué que son organisation n'a pas encore fait de contre expertise pour vérifier leurs véracités. L'important selon lui, n'est pas de polémiquer mais plutôt de corriger les défaillances en la matière qui s'observent encore.