La Cour Pénale Internationale de la Haye devrait revenir à sa décision et laisser le gouvernement burundais et les instances habilitées à continuer de faire librement des enquêtes en rapport avec les crimes contre l'humanité qui auraient été commis depuis la date du 26 avril 2015 jusqu'à nos jour. La société civile PISC-Bdi ; CAPES et MAC déclarent qu'il n'y a aucune raison qui peut expliquer l'intervention de la CPI pour mener ces enquêtes. La déclaration a été lue par Jean-Marie NDUWIMANA, Président de PISC-Bdi.